Avant/après chirurgie esthétique : Laurence, 60 ans, « Le contour de mon visage était relâché »
- 17 Feb, 2025
1. Le déclic : quand le miroir devient un étranger
Laurence, cadre retraitée à Lyon, décrit ses 60 ans comme une renaissance : voyages, bénévolat, cours de peinture… Pourtant, malgré cette vitalité, son reflet lui renvoyait une image en décalage. « Mes joues s’affaissaient, ma mâchoire perdait sa définition. Je voyais une femme fatiguée, alors que je me sentais pleine d’énergie. » Un paradoxe qui l’a poussée à consulter un chirurgien après des années à éviter les photos et à camoufler son cou avec des foulards.
Le poids des regards extérieurs : « On me demandait si j’étais malade, alors que j’étais en pleine forme. Ces remarques ont miné ma confiance. »
2. La consultation : entre désirs et réalisme médical
Après des mois de recherches, Laurence choisit le Dr. Martin, spécialiste en chirurgie faciale à Paris, connu pour son approche « naturelle ». « Je ne voulais pas un effet “tendu”, juste retrouver mon visage d’il y a dix ans », explique-t-elle.
Le diagnostic : Un relâchement cutané modéré dû à la perte de collagène, accentué par une perte de volume des pommettes. Le Dr. Martin propose un lifting temporal combiné à une lipofilling (greffe de graisse) pour restructurer l’ovale. « L’objectif était de retendre sans effacer mes rides, qui racontent mon histoire », précise-t-elle.
Les craintes : « J’avais peur de la douleur, des cicatrices… Mais le docteur a tout expliqué avec des photos 3D. Ça m’a rassurée. »
3. L’intervention : 4 heures sous anesthésie générale
La chirurgie, réalisée en ambulatoire, dure quatre heures. Laurence se réveille avec un bandage compressif et des drains. « J’étais groggy, mais sans douleur grâce aux antalgiques. »
Les premiers jours : Gonflement, ecchymoses et difficultés à mastiquer. « J’avais l’impression d’avoir un casque trop serré. Mais les conseils du médecin étaient clairs : repos, tête surélevée et patience. »
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4. La convalescence : miroir, mon ennemi ?
Les deux premières semaines sont les plus éprouvantes psychologiquement. « Je me suis demandé si j’avais fait une erreur en voyant mon visage bouffi. » Soutenue par sa fille et des groupes de patients en ligne, Laurence suit à la lettre les consignes : massages lymphatiques, alimentation anti-inflammatoire et évitement du soleil.
Le tournant : À trois semaines, les résultats commencent à apparaître. « Un matin, j’ai vu mes pommettes redessinées. J’ai pleuré de soulagement. »
5. Résultats : « Je me reconnais enfin »
Six mois après l’opération, Laurence arbore un ovale redéfini et un teint lumineux. « Mes petits-enfants disent que j’ai rajeuni, mais mes amis trouvent juste que je suis “reposée”. Mission accomplie ! »
Impact psychologique : « Je souris plus, j’ose porter des décolletés. C’est comme si mon extérieur avait rattrapé mon intérieur. »
6. Chirurgie après 60 ans : un choix assumé
Laurence assume son choix dans un société où la chirurgie chez les seniors est souvent critiquée. « On accepte bien les prothèses dentaires ou les lunettes… Pourquoi pas ça ? » interroge-t-elle. Le Dr. Martin abonde : « Mes patientes de 60+ ne cherchent pas la perfection, mais une harmonie. Elles ont un taux de satisfaction plus élevé que les jeunes. »
Chiffres clés : En France, 15% des lifting sont réalisés sur des +65 ans (source : SOFCEP, 2022).
7. Conseils pour celles qui hésitent
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Bien choisir son chirurgien : Vérifier les certifications (Ordre des Médecins) et privilégier le dialogue.
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Avoir des attentes réalistes : « Ce n’est pas une machine à remonter le temps, mais un coup de projecteur sur votre beauté actuelle », résume Laurence.
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Préparer l’entourage : « J’ai expliqué à ma famille que c’était pour moi, pas pour les autres. »
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